Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Du droit des Nations

12/02/2010 15:27

Du droit des Nations


Par Roland Hureaux
Interrogé par la rédaction de Marianne, Bernard-Henri Lévy tient des propos qui, à y bien réfléchir, sont étonnants.
« Comment se manifeste le pétainisme aujourd’hui ? » dit Marianne. Réponse : « Dans le souverainisme par exemple ».
Et au cas où nous n’aurions pas bien compris, l’illustre publiciste précise : « Qui est souverainiste aujourd’hui ? Je veux dire au sens où je l’entends ? Et par la même occasion pétainiste ? Jean-Pierre Chevènement. Il en a tous les réflexes et l’armature intellectuelle ».
Propos étonnants si l’on considère que le pétainisme fut voué à l’opprobre à l’issue de la seconde guerre mondiale parce qu’il s’était trop facilement accommodé de la perte de la souveraineté nationale. Les pétainistes furent condamnés, pour « intelligence avec l’ennemi » : non point parce qu’ils avaient défendu pied à pied le sol de la patrie mais parce qu’ils ne l’avaient pas fait. Pour défendre sa souveraineté, il faut combattre. Or que dit aux Français le vieux maréchal ? « Il faut cesser le combat ». A moins que le souverainisme qu’il attaque, chez Chevènement et sans doute d’autres, soit autre chose que l’attachement à la souveraineté nationale. On se demande bien alors ce qu’il pourrait être.
Philippe Séguin qui devint une figure nationale en refusant le traité de Maastricht en 1992 ne serait pas, selon lui, souverainiste. Et de Gaulle ?
Il est difficile, à moins de falsifier l’histoire, de dire que le général ne l’était pas. S’il est quelque chose de constant dans sa doctrine, c’est bien l’attachement à la souveraineté nationale. Il ne faisait pas de doute pour lui que les actes controversés des années soixante : refus de l’Europe supranationale, retrait de l’OTA N, dénonciation de l’hégémonie américaine, se situaient dans le rigoureux prolongement de son refus de l’occupation allemande en 1940 – et de l’AMGOT en 1944.
Si donc le souverainisme, c’est le pétainisme, il est dommage que Bernard-Henri Lévy nous prive de sa conclusion : l’acte fondateur du pétainisme, ce fut l’appel du 18 juin 1940. Le pétainiste emblématique, ce fut de Gaulle.
Absurde, dira-t-on ? Evidemment, mais telle est bien la conclusion à laquelle il faut se rendre si on suit sa démarche.
« La servitude, c’est la liberté », « La liberté, c’est l’esclavage » fait dire Orwell au terrible pouvoir qui règne sur son « 1984 ».
Comme cet auteur l’a bien vu, un des premiers caractères des régimes totalitaires est d’adultérer le sens des mots, jusqu’à leur faire dire le contraire de ce qu’ils disent.
Il y a plus. Quand Lévy accuse les souverainistes – et pas seulement eux -, de pétainisme, on aura compris que le mot ne désigne chez lui pas une option politique parmi d’autres, mais un parti chargé d’opprobre. Le discrédit grave qui frappe Vichy ne tient pas seulement à son asservissement à une puissance étrangère mais aussi – même cette dimension n’apparut que plus tard – à sa contribution à la politique d’élimination raciale du régime nazi et donc à sa complicité avec un crime contre l’humanité. Les souverainistes sont des pétainistes et donc, au moins virtuellement, des complices de crimes contre l’humanité.
Nous repérons là chez le philosophe engagé un autre caractère de la démarche totalitaire : la diabolisation de l’adversaire. Lévy dit pétainiste, mais ne nous leurrons pas, il pense quelque chose comme « vipère lubrique ». L’attachement à la souveraineté nationale n’est pas seulement pour lui blâmable, il est déshonorant.
Un troisième caractère de toute idéologie totalitaire, c’est l’internationalisme. On connaît celui de la IIIe Internationale (dite en abrégé Komintern). Ceux qui entre 1940 et 1944 soutenaient la collaboration ne disaient pas ouvertement aux Français « reconnaissons la supériorité allemande » mais « nous n’avons pas d’autre solution que de rejoindre le nouvel ordre européen ». « Nouvel ordre européen » : un des leitmotivs de l’Europe hitlérienne
Faut-il poursuivre ? Bernard-Henri Lévy rappelle avec justesse  que « le totalitarisme est toujours réductible à une volonté de guérir, un médicalisme, une clinique »  mais il ne semble pas se demander si sa volonté d’éradiquer à travers le monde toute trace de « pétainisme » ne relève pas de la même logique . D’autant qu’en assimilant le souverainisme au souci de « la persévérance de la nation dans son être », le philosophe s’est donné un vaste chantier. Persévérer dans son être , n’est-ce pas, selon Spinoza, la loi de la nature ? Réformer la nature, le rêve de tous les idéologues.
Idéologie contre droit des peuples
Le grand ennemi des régimes totalitaires, c’est la liberté. Quand il s’agit d’une collectivité, la souveraineté n’est qu’un autre nom de la liberté. La France souveraine, c’est ni plus ni moins que la France libre. Cette liberté, Lévy la définit indirectement en disant que Chevènement « pensait comme un souverainiste classique que « charbonnier est maître chez soi. » On peut supposer que Bernard-Henri Lévy, qui, on l’aura compris, n’est pas souverainiste, pense, lui, que « charbonnier n’est pas maitre chez lui ». Qui donc est maître chez le charbonnier ? Pour les despotes de tous les temps, la réponse ne fait pas de doute : c’est eux
Il est vrai que les charbonniers dont Lévy récuse explicitement la liberté s’appellent la Serbie et l’Irak, au temps où ils étaient sous la coupe de régimes tenus pour maudits. Etait-il pour autant légitime de les attaquer ? On n’en débattra pas ici. On se rappellera seulement que quand ils le furent l’un et l’autre, c’est, qui en doute aujourd’hui ? sur le fondement de mensonges : l’idée qu’il y avait un commencement de génocide au Kosovo, que l’Irak préparait un programme d’armes de destruction massive (ce dernier mensonge, ce n’est pas nous qui le dénonçons c’est le Parlement britannique – sans doute un autre haut lieu du pétainisme ! ). Le mensonge de masse, autre caractère du totalitarisme.
Le droit des charbonniers, c’est ce qu‘on appelle aussi «  le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », grande conquête de la Révolution française, fondement de l’ordre international. Autre nom de la souveraineté.
Si nous suivions la même méthode des amalgames infamants que le philosophe, nous dirions que sa pensée est totalitaire. On se contentera de dire, de manière plus nuancée, qu’elle a un caractère idéologique, au sens précis que Hannah Arendt, Papaioannou, Besançon et d’autres ont donné à ce mot. Jusqu’à preuve du contraire, en effet, toute idéologie n’est pas totalitaire.
Mais toute idéologie est porteuse de guerre. Le droit des peuples ne se divise pas : pour de Gaulle, s’ il s’appliquait à la France de 1940, il s’appliquait aussi bien à l’Algérie de 1962. Le vrai souverainisme, il vaut pour soi, il vaut aussi pour les autres, comme le reconnaît d’ailleurs Bernard-Henri Lévy avec ses fameux « droits du charbonnier ». Au nom de la souveraineté, on peut et même on doit se défendre, on peut difficilement agresser (sauf les litiges frontaliers d’autrefois, en tout état de cause limités). Pour violer en grand les droits des nations, il faut plus, il faut une idéologie qui transcende celles-ci. Le problème des idéologues, c’est qu’ils ne font pas « la guerre en philosophie », ils font la guerre tout court. Chemise ouverte, comme Gérard Philippe dans Le Cid, toujours prêts à en découdre.
L’idéologie contre le droit des peuples, l’idéologie contre la paix, voilà bien le fond du problème. «  La nation n’est pas source de conflits ; en revanche la négation de la nation est à l’origine de toutes les guerres » (Charles de Gaulle). « Cinquante ans après la fin de la seconde guerre mondiale, il importait de rappeler que ce confit a eu lieu à cause de la violation du droit des nations » (Jean Paul II).





19 livres pour mieux comprendre la crise

12/02/2010 15:13

19 livres pour mieux comprendre la crise


Depuis deux ans, j’ai publié de nombreux résumés de livres traitant de la crise de la globalisation néolibérale. Pour faciliter la recherche de ces notes, voici des liens vers l’ensemble des papiers :
Patrick Artus, « Globalisation, le pire est à venir » : ici
Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix, « Vers un nouveau capitalisme » : partie 1 et partie 2
Emmanuel Todd, « Après la démocratie » : partie 1 et partie 2
Maurice Allais, « La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance », partie 1, partie 2 et partie 3
Jean-Luc Gréau, « La trahison des économistes » : ici
Paul Jorion, « L’implosion » : ici
Paul Jorion, « La crise » : ici
Paul Krugman, « L’Amérique que nous voulons » : partie 1 et partie 2
Jean-Luc Gréau, « L’avenir du capitalisme » : partie 1 et partie 2
Jacques Généreux, « La dissociété » : partie 1, partie 2 et partie 3
Jean-Claude Michéa, « L’empire du moindre mal » : ici
Robert Reich, « Supercapitalisme » : partie 1 et partie 2
Joseph Stiglitz, « La Grande désillusion » : partie 1, partie 2 et partie 3               
Frédéric Lordon, « Jusqu’à quand » : partie 1 et partie 2
James Kenneth Galbraith, « La crise économique de 1929 » : partie 1, et partie 2
Christian Saint Etienne, « La fin de l’euro » : partie 1 et partie 2
Frédéric Lordon, « La crise de trop » : partie 1 et partie 2
Jacques Sapir, « Le nouveau 21ème siècle » : partie 1 et partie 2
Paul Krugman, « Pourquoi les crises reviennent toujours » : partie 1 et partie 2
Enfin, quelques synthèses de mon cru (les premières devront être remises à jour car elles commencent un peu à dater) :
« La crise de l’anarchie néolibérale », ainsi que quelques propositions sur le commerce, la monnaie et la finance
Laurent Pinsolle





Le marathon de NDA et Jean-Claude Delarue dans la galère des transports franciliens

12/02/2010 15:00

Le marathon de NDA et Jean-Claude Delarue dans la galère des transports franciliens


Nicolas Dupont-Aignan "tente l’impossible" : toute l’Ile-de-France en RER - Reportage, Prev

11/02/2010 16h59 GMT - RÉGIONALES-IDF-PARTIS-DLR-TRANSPORT - Nouvelles de France - AFP Par Fabienne FAUR

PARIS, 11 février 2010 (AFP) - Sautant de métros bondés en RER vieillissants, Nicolas Dupont-Aignan, tête de liste de Debout la République en Ile-de-France, a "tenté l’impossible" jeudi en cherchant à rallier, en un seul jour et en transports en commun, les huit départements de la région.
"C’est un peu comme une course au trésor. Il faut déployer des trésors d’imagination", affirme le député de l’Essonne à la presse devant la gare Saint-Lazare à Paris, avant de démarrer à 8h00 du matin son "marathon" vers la banlieue, pile de tracts en main.
Comme tous les autres candidats aux élections régionales en Ile-de-France, le président du parti gaulliste a fait des transports l’un des thèmes centraux de sa campagne, sujet de grogne récurrent des habitants de la région.
La veille encore, le comité des usagers du RER B Drancy-Le Blanc Mesnil (Seine-Saint-Denis) manifestait devant le siège du Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif), en présence d’élus de droite et de gauche.
La question des transports, c’est le "problème majeur de l’Ile-de-France. On nous sort des projets mirifiques qui resteront dans les cartons !" dit M. Dupont-Aignan qui dénonce autant "l’idéologie débile des Verts qui bloquent les investissements routiers" que le "mirage du Grand Paris de l’UMP, qui ne répond en rien aux besoins concrets des Franciliens".
"C’est impeccable, ce que vous dites", assure un quadragénaire à l’adresse du candidat, avant de s’engouffrer dans la bouche de métro.
Mégaphone aux lèvres, Jean-Claude Delarue, responsable de la principale association de défense des usagers des transports collectifs en Ile-de-France, détaille ses revendications : "multiplication des lignes de bus, rénovation des RER, remboursement des jours de grève...".
Le militant associatif a apporté son soutien à DLR, dont il reprend les "solutions concrètes et immédiates" : parkings gratuits dans les gares, pass unique à 50 euros, travaux pour lutter contre les bouchons, le tout chiffré à deux milliards d’euros "soit 10 fois moins que le Grand Paris".
Sur le quai de la ligne 13, devenue presque mythique à force de pannes et de retards, plusieurs strates de voyageurs attendent le métro. Des vigiles assurent le bon écoulement de la foule. "On est comme dans une boîte de sardines", soupire Rony, 26 ans, étudiant en économie.
"C’est la ligne où il y le plus de malaises", assure M. Delarue alors que le député ironise : "Valérie Pécresse (tête de liste UMP) veut des prises d’ordinateur dans les RER alors qu’on ne tient même pas sur les quais ! J’ai envie de lui dire +Prenez le métro+ !".
A la station Mairie de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), il n’est pas possible de rejoindre la ligne C du RER autrement qu’en bus ou en voiture, à moins de revenir en métro vers le centre de Paris.
A Houilles (Yvelines), le RER de la ligne A, direction Cergy St-Christophe (Val-d’Oise), est annoncé avec 30 minutes de retard : "Voilà ! On commence à être en Grande couronne et ses 5 millions d’oubliés", soupire le député.
Dans un wagon, Emline Exantus raconte : "J’étais sur le quai à 10h00, pour embaucher à 12h30". Cette vendeuse de 32 ans, originaire d’Haïti, se donne chaque jour une marge de deux heures trente pour un trajet d’une demi-heure, pour ne pas arriver en retard à son travail.
"On a inventé les 35 heures, et les gens en font 55 à cause des transports", dit Nicolas Dupont-Aignan qui devait terminer son marathon à Melun (Seine-et-Marne), après Maison-Alfort (Val-de-Marne) et Evry (Essonne).

 Jean-Claude Delarue (usagers des transports) soutient Dupont-Aignan

11/02/2010 16h26 GMT - RÉGIONALES-IDF-PARTIS-DLR-TRANSPORT-RAIL - Nouvelles de France - AFP

PARIS, 11 février 2010 (AFP) - Jean-Claude Delarue, porte-parole de l’association FUT-SP (usagers des transports en commun et services publics) a apporté son soutien pour les élections régionales à la liste de Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République), ont annoncé jeudi les deux parties.
"Courtisé" par les candidats Jean-Paul Huchon (PS) et Valérie Pécresse (UMP), "j’ai choisi de soutenir Nicolas Dupont-Aignan", indique M. Delarue dans un communiqué.
"C’est le seul qui a du bon sens : il a compris qu’il vaut mieux réparer les RER (3 millions de voyageurs chaque jour) pour 2 milliards d’euros que faire un métro supplémentaire pour 10 fois plus cher (20 milliards d’euros) qui ne verra le jour que dans 20 ans !", indique le militant associatif.
"C’est aussi le seul qui présente des solutions concrètes et immédiates, qui sont aussi beaucoup moins coûteuses que celles de ses concurrents", ajoute le communiqué.
M. Dupont-Aignan, député de l’Essonne, est chef de file de sa formation DLR pour les élections régionales en Ile-de-France.

REGIONALES - Le marathon de Dupont-Aignan dans les transports

Le Parisien - Edition Essonne - Vendredi 12 février 2010

Relier en une journée tous les départements d’Ile-de-France en transports en commun. C’est le pari qu’a tenté hier Nicolas Dupont-Aignan (NDA), député-maire d’Yerres et tête de liste de Debout la République aux régionales de mars. « C’est la principale cause de stress au travail », explique le candidat, qui a fait des transports son sujet principal. Il a été rejoint par Jean-Claude Delarue, le père de l’animateur, responsable de la principale association de défense des usagers en Ile-de-France.
8 h 30, gare Saint-Lazare (Paris). Distribution de tracts devant le métro. Les usagers prennent les prospectus d’une main distraite. Les militants créent un embouteillage. « Vous gênez », lance un passager, membre de l’association du droit des piétons.
8 h 45, ligne 13 du métro vers Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Les rames bondées défilent. Impossible de monter. Un homme, vêtu d’une chasuble fluo de la RATP avance. « J’aide les gens à monter et descendre », lance-t-il au candidat, qui lâche : « C’est pire qu’au Japon ! ».
10 heures, RER C, Saint-Ouen. « Ah, le RER ! s’exclame le maire dont la ville est desservie par la ligne D. Il est toujours en panne. Cinq millions d’habitants en grande couronne ont été oubliés. Vingt milliards vont être investis pour le Grand Paris. Deux suffiraient pour rénover les RER ».
10 h 20, RER C, Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Arrivée dans une gare déserte. Jean-Claude Delarue en profite pour justifier son engagement : « J’ai été courtisé par le PS et l’UMP, assure-t-il. Les solutions apportées par Nicolas Dupont-Aignan sont plus logiques. Il veut multiplier les bus en banlieue. »
10 h 25, voiture direction le RER A à Houilles (Yvelines). « Prendre la voiture, ce n’est pas tricher dans mon pari, explique NDA. Cela montre que les interconnexions sont inexistantes hors de Paris ».
11 heures, RER A direction Cergy (Val d’Oise). Emeline raconte son quotidien. « Je commence à 12h30. Je n’ai que vingt-cinq minutes de trajet. Mais j’arrive sur le quai à 10 heures pour être à l’heure. » NDA commente : « les transports ont inventé la semaine de 60 heures ».
13 heures, départ vers Poissy (Yvelines). Jean-Claude Delarue lance un sondage dans la gare. « Que ceux qui sont satisfaits des transports lèvent le doigt ? Personne ? » sourit-il. NDA explique son programme : « Je propose un passe Navigo à 50 € toutes zones et des parkings gratuits. » « Il faudra le faire pour de vrai », répond un jeune homme …
17 h 15, RER D vers Evry. Vers Maisons-Alfort (Val-de-Marne), la rame est bondée. « Et Valérie Pécresse (tête de liste UMP) veut des prises d’ordinateur dans les RER … » ironise Jean-Claude Delarue.
18 heures, RER D à Melun (Seine-et-Marne). Fin du périple. « Au final, 100 % des usagers rencontrés ont exprimé leur ras-le-bol. Si tous les mécontents me suivent, je vais atteindre les 10 % (NDLR : nécessaires au maintien au second tour) », pronostique NDA.
Julien HEYLIGEN





Un sondage qui fait du bruit !

11/02/2010 14:28

Un sondage qui fait du bruit !


C’est la vraie surprise du sondage TNS-Sofres réalisé en Ile-de-France du 2 au 3 février 2010 et qui vient d’être publié : la liste conduite par Nicolas Dupont-Aignan est créditée de 5% des voix, soit plus que le Modem (3,5%) et le F N (4,5%), et presque autant que le Front de Gauche et le NPA d’Olivier Besancenot (6% chacun). Autre enseignement important de ce sondage, la notoriété de Nicolas Dupont-Aignan est en hausse, elle atteint désormais 66% (contre 59% par exemple pour Cécile Duflot). Cerise sur le gâteau, parmi ces 66% de Franciliens qui connaissent « NDA », une nette majorité d’entre eux a sur lui une opinion favorable ou très favorable. De bon augure à cinq semaines du premier tour…





Polémique sur la garde à vue : ne pas se tromper de procès

11/02/2010 14:14

Polémique sur la garde à vue : ne pas se tromper de procès


COMMUNIQUE DE PRESSE
Gardes à vue : les policiers sont autant victimes que les citoyens
La polémique sur le placement en garde à vue de trois adolescentes à la suite de faits mineurs émeut à très juste titre les Français, qui en viennent à croire qu’eux-mêmes ou leurs enfants pourraient connaître le même sort pour des peccadilles.
Néanmoins, chacun doit bien comprendre que les fonctionnaires de police et de gendarmerie sont autant les victimes de cette dérive, qui résulte entièrement de la « politique du chiffre » aberrante voulue par le pouvoir et qui conduit à criminaliser une foule de citoyens inoffensifs pour des besoins d’électoralisme statistique.
Mais attention à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Ce qu’il faut changer, ce sont moins les procédures que les instructions données par le ministère de l’Intérieur pour l’application, sans aucun discernement ni réelle proportionnalité, de celles-ci.
Le président de la République doit immédiatement donner des consignes à son ministre pour que cesse cette politique qui, comble du comble, conduit à relâcher la pression sur la délinquance grave et violente, en pleine explosion ces dernières années.
En revanche, il faut donner aux forces de sécurité publique les moyens matériels et juridiques de mener impitoyablement leurs investigations contre le trafic de drogue, les cambriolages, les agressions en bandes, les hold-up,… y compris lorsqu’il s’agit de délinquants mineurs, et au besoin en durcissant le code de procédure pénale.
Agir avec fermeté pour maintenir l’ordre républicain, ce n’est pas harceler les citoyens ordinaires en laissant prospérer la délinquance, au risque de discréditer les forces de sécurité publique aux yeux de la population. Il est grand temps que le pouvoir s’en souvienne !
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





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